Dans un Burkina Faso secoué par un nouveau coup d'État et par la violence djihadiste, les chrétiens ont choisi de prier.
Que reste-t-il aux chrétiens du Burkina Faso sinon la prière? Face à l'incapacité des autorités à garantir leur sécurité, un pasteur burkinabè a écrit à Portes Ouvertes. Il nous encourage à intercéder avec lui, et à rester fermement attachés à Jésus, qui nous dit en Jean 15.5: «Je suis le cep, vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure porte beaucoup de fruit. Car sans moi vous ne pouvez rien faire.»